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Chartres, 26 avenue d’Aligre, La Visitation

Inscription et paiement de 7€ (sur place ou sur helloasso) pour couvrir les frais liés au travail de l’intervenant et contribuer aux frais de secrétariat de l’association.
Elle se tiendra également sur ZOOM à la même heure.
Pour accéder à cette conférence sur ZOOM il vous est demandé
une participation de 5€.

La fraternité inscrite aux frontons de nos mairies est un sujet qui rassemble citoyens, élus et associations et lui donnent corps et sens.  Et nombreux sont les chrétiens de confession catholique, protestante ou orthodoxe qui sont engagés dans des actions concrètes pour construire le vivre ensemble.
 Dans la Pensée Sociale de l’Eglise Catholique la fraternité entre dans la catégorie du Bien commun.  Jean XXIII parle de la paix comme bien commun, Paul VI du progrès des peuples, Jean-Paul II de la solidarité et François de la fraternité.
 Le bien commun, et donc la fraternité, n'est jamais acquis. C'est quelque chose de fragile, à défendre chaque jour.  C'est également un combat qu'on ne peut pas mener seul. Le bien commun est toujours de l'ordre du rêve collectif, d'une espérance pour tous, y compris les plus petits. Pour nous chrétiens, de l'avènement du Royaume de Dieu.
 Pour autant il existe bien des obstacles, car le Royaume des Cieux n'est pas isolé de la Croix. Tomber deux, trois fois, ne doit pas nous désespérer.
 Jean-Paul II explique comment les structures de péché nous empêchent de vivre ici et maintenant l'Evangile. Comprendre les obstacles à la fraternité permet de développer des structures de bien commun. Il s'agit d'inventer, ensemble, des lieux ou des propositions structurantes qui, même petitement, incitent naturellement les uns et les autres à mieux vivre fraternellement.
 Marcel Rémon, jésuite belge, viendra nous aider à découvrir ce qui fait obstacle à la fraternité et nous proposer des pistes pour la faire progresser.

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